Le siège social d’ARCAVI se trouve entre FLIZE et BOULZICOURT.En VENANT DE FLIZE, après les parkings d’aire de repos, prendre à droite à la maison.En venant de BOULZICOURT, vous ne pouvez pas tourner à gauche pour accéder au site, il faut prendre les parkings d’aire de repos, puis revenir sur BOULZICOURT pour pouvoir tourner à droite après la maison (située sur la droite en allant à BOULZICOURT). Créée en 1978 sous forme de société d'économie mixte avec des capitaux publics et privés où le conseil général est actionnaire majoritaire, la société ardennaise d'amélioration du cadre de vie fêtera ses 30 ans dans quelques mois.
83 salariés
Depuis, Arcavi, aujourd'hui présidé par Clément Servais et dirigé par Jean-Jacques Wary, est avec 83 salariés répartis sur tout le territoire et un chiffre d'affaires de 12,7 millions d'euros, l'équivalent d'une PME.
Chargé initialement de la seule décharge contrôlée des Ardennes, créée en 1976 à Eteignières et qui traite 100.000 tonnes de déchets par an, Arcavi a aussi mis en place un maillage de cinq stations de transfert de déchets ménagers (Revin, Monthermé, Damouzy, Rethel et Charleville-Mézières) plus deux autres (Carignan et Sedan) exploitées par Sita-Dectra (Groupe Suez-Lyonnaise des eaux).
« Une première en France. Ce système a permis la mutualisation et la péréquation des coûts. Que vous soyez de Sedan, Rethel, Vouziers ou d'une autre contrée, le coût pour le transfert, le transport et le traitement des décharges est le même », indique Jean-Jacques Wary.
Matière grise d'un dispositif désormais pris en charge par le syndicat mixte de traitement des déchets ardennais, Arcavi en assure aujourd'hui certaines délégations.
Il est aussi exploitant de deux centres de tri (Charleville-Mézières et Fumay) et propriétaire d'une plate-forme d'approvisionnement bois-énergie à Chalandry-Elaire qui livre du compost à des terres viticoles rémoises et à l'agriculture locale.
27 emplois bientôt créés
Depuis, Arcavi, aujourd'hui présidé par Clément Servais et dirigé par Jean-Jacques Wary, est avec 83 salariés répartis sur tout le territoire et un chiffre d'affaires de 12,7 millions d'euros, l'équivalent d'une PME.
Chargé initialement de la seule décharge contrôlée des Ardennes, créée en 1976 à Eteignières et qui traite 100.000 tonnes de déchets par an, Arcavi a aussi mis en place un maillage de cinq stations de transfert de déchets ménagers (Revin, Monthermé, Damouzy, Rethel et Charleville-Mézières) plus deux autres (Carignan et Sedan) exploitées par Sita-Dectra (Groupe Suez-Lyonnaise des eaux).
« Une première en France. Ce système a permis la mutualisation et la péréquation des coûts. Que vous soyez de Sedan, Rethel, Vouziers ou d'une autre contrée, le coût pour le transfert, le transport et le traitement des décharges est le même », indique Jean-Jacques Wary.
Matière grise d'un dispositif désormais pris en charge par le syndicat mixte de traitement des déchets ardennais, Arcavi en assure aujourd'hui certaines délégations.
Il est aussi exploitant de deux centres de tri (Charleville-Mézières et Fumay) et propriétaire d'une plate-forme d'approvisionnement bois-énergie à Chalandry-Elaire qui livre du compost à des terres viticoles rémoises et à l'agriculture locale.
27 emplois bientôt créés
D'ici 2010, deux grands projets vont occuper les dirigeants d'Arcavi.
D'abord, le regroupement à Chalandry-Elaire, au lieu-dit « Le Bochet », du siège social et des bureaux administratifs actuellement basés sur la Z.I. de Mohon.
Parallèlement à ce transfert, Arcavi créera sur trois autres hectares un centre de tri de déchets industriels banals, une déchetterie pour les artisans et commerçants (une première dans les Ardennes !) et un centre de regroupement pour les déchets d'équipements électriques et électroniques.
Un investissement global de 5,6 millions d'euros qui générera quinze emplois de machinistes, réceptionnistes et trieurs.
La future infrastructure est déjà baptisée « plate-forme multifilières de valorisation des déchets ».
Ayant réfléchi au traitement des déchets à l'horizon 2036, Arcavi a aussi pour ambition de se redéployer sur le site d'Eteignières (100 hectares) avec, à la clé, 12 emplois.
11,7 millions d'euros seront consacrés au tri des déchets résiduels et industriels banals, à la préparation biologique, à la valorisation énergétique des déchets organiques par méthanisation, à l'intégration paysagère et à la création d'une décharge de gravats.
D'abord, le regroupement à Chalandry-Elaire, au lieu-dit « Le Bochet », du siège social et des bureaux administratifs actuellement basés sur la Z.I. de Mohon.
Parallèlement à ce transfert, Arcavi créera sur trois autres hectares un centre de tri de déchets industriels banals, une déchetterie pour les artisans et commerçants (une première dans les Ardennes !) et un centre de regroupement pour les déchets d'équipements électriques et électroniques.
Un investissement global de 5,6 millions d'euros qui générera quinze emplois de machinistes, réceptionnistes et trieurs.
La future infrastructure est déjà baptisée « plate-forme multifilières de valorisation des déchets ».
Ayant réfléchi au traitement des déchets à l'horizon 2036, Arcavi a aussi pour ambition de se redéployer sur le site d'Eteignières (100 hectares) avec, à la clé, 12 emplois.
11,7 millions d'euros seront consacrés au tri des déchets résiduels et industriels banals, à la préparation biologique, à la valorisation énergétique des déchets organiques par méthanisation, à l'intégration paysagère et à la création d'une décharge de gravats.
Caromika
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